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LA TRANSFORMATION
NUMÉRIQUE À LA

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Pas le temps ? En résumé, il s’agit de prendre part aux mutations de l’organisation sociale, boostées par les nouvelles technologies, avec des méthodes collaboratives créatrices de valeurs, basées sur l’action et la prise de risque, et mettant au cœur des processus l’utilisateur et ses besoins.

Cette approche accompagne la SNCF dans sa transformation numérique appelée “le Digital pour tous”, que ce soit en termes de méthodologie de projet qu’en termes de fond. Cette transition vers une expérience enrichie des différentes cibles de l’entreprise et vers une optimisation des performances s’illustre avec plusieurs projets, auxquels participent des partenaires divers, réunis autour du faire.

L'histoire

Afin de fluidifier les process internes, Optim Services, le service support de la SNCF, a fait appel à l’agence afin de proposer une application permettant de digitaliser les démarches internes.

Les enjeux de l’application portent principalement sur l’ergonomie : elle doit permettre une navigation fluide, une évolutivité des fonctionnalités et un usage simple.

La méthodologie

La relation partenariale capitalise sur les différentes expertises : connaissances métier, état d’esprit interne de l’entreprise, expérience de l’usage… Ainsi, les différents acteurs se réunissent, communiquent, travaillent ensemble sur les différents enjeux et les expériences à proposer à l’utilisateur.

Le parcours des maquettes est proposé à un panel d’utilisateurs potentiels, en interne, afin d’avoir des retours en amont du graphisme et du développement, pour ajuster l’expérience et l’ergonomie. De la même manière, les différentes fonctionnalités potentielles sont priorisées en fonction des besoins utilisateurs.

L'histoire racontée

Afin d’accompagner les agents à ce changement, à cette “digitalisation” des usages papiers, l’agence a proposé une vidéo, permettant à la fois de présenter l’application et ses avantages d’usage, mais aussi d’expliquer la transition.

Tap &
Check

Le système de transcription
des manœuvres de sécurité

En collaboration avec

L'histoire

Il était une fois un petit carnet appelé “carnet de traçabilité”, qui servait aux agents de la SNCF à indiquer les différentes manœuvres de sécurité faites sur les trains Corail Intercités. Ce carnet était bien vieux et fatigué, et il rêvait de céder sa place à un système plus moderne et plus efficace.

Les enjeux de la mission ? Proposer un dispositif apportant autant de côtés pratiques que le carnet, et même plus de sécurité et de liberté.

LA MÉTHODOLOGIE

L’outil étant destiné aux agents de terrain, un atelier de Living Lab a été mis en place afin de les solliciter : chacun a ainsi pu exprimer ses besoins et contraintes mais aussi donner ses idées et participer à leur mise en œuvre. L’atelier s’est déroulé en plusieurs étapes : icebreaking et présentation du projet et de sa méthodologie, scénarisation de l’existant, identification des points critiques, intervention d’un chercheur spécialisé, scénarisation des opportunités, réflexion puis scénarisation des solutions.

Un POC a ensuite été conçu, créé et fabriqué puis testé par ces agents de terrain et d’autres, pour tester les solutions et optimiser les fonctionnalités, l’ergonomie et le développement afin de proposer une application finalisée.

LES RÉSULTATS

Un fonctionnement permettant des échanges entre l’utilisateur et le dispositif - sous forme d’application smartphone au vu de l’équipement existant - en fonction de leurs caractéristiques :

L'histoire racontée

Le projet se raconte de lui-même puisque sa cible en est un acteur central : la communication interne sur cette évolution se fait quasiment d’elle-même, par le bouche-à-oreille interne des agents mobilisés au début du process, puis des testeurs qui s’y sont ajoutés, dans différentes gares.

Time sharing

Le temps partagé dans le train
En collaboration avec

L'histoire

Dans un contexte de mobilité accrue et de concurrence entre les modes de déplacement, le temps du voyage peut-il être porteur de valeurs pour la SNCF Ter qui reste certainement une composante majeure, d’une mobilité durable en Région ?

L’enjeu de la réflexion était d’imaginer un autre rapport au temps du voyage : qu’il soit subi ou choisi, comment faire de ces “espaces temps”, que constituent une voiture de TER, un quai de gare, des espaces propices aux échanges.

LA MÉTHODOLOGIE

Des étudiants, utilisateurs ou non des services du TER et des employés de la SNCF, ont été invités à réfléchir ensemble, dans le cadre de plusieurs ateliers Living Lab, aux nouveaux usages et nouvelles interactions utiles, futiles, productives, oisives ou encore curieuses que l’on pourrait envisager pour enrichir ce temps du voyage.

Une première session en mars 2017 avec les équipes de recherche normande en géographie sociale et des représentants de la communauté OuiShare a permis de faire émerger des thématiques : culture, gaming, partage de savoir-faire, travail… Celles-ci ont été reprises avec beaucoup de créativité par les participants du Turfu Festival au Dôme en octobre 2017. Ils ont alors développé ces pistes pour imaginer des scénarios d’usage.

Les résultats

En tenant compte des contraintes de temps, de sécurité, d’espace, de localisation présentes sur un trajet en TER, les participants aux ateliers ont proposé des scénarios d’usage tels qu’une murder party, un espace de travail collaboratif, une application de partage et d’échange de biens culturels, ou encore un train art-sensations.

Les résultats

L'histoire racontée

POC à venir dans les TER…